Polonnâruvâ succéda au statut de capitale du royaume cinghalais après la chute d’Anurâdhapura. Ses vestiges, plus récents, sont aussi globalement mieux préservés, bien qu’ils aient été laissés à l’abandon pendant sept siècles dans la jungle.
Les bains du Prince (Kumara Pokuna):
La salle d’audience du palais royal:
Bouddha dans le vatadage du «Quadrilatère»:
Pierre de lune à l’entrée nord du vatadage:
Avec ses 54 mètres de hauteur, le Rankot Vihara est le plus grand dagoba de Polonnâruvâ:
Le revêtement de chaux blanche du dagoba Kiri Vihara est apparemment d’origine:
Gal Vihara est un ensemble de quatre bouddhas monumentaux taillés dans un énorme bloc de granit au 12e siècle.
Comme à Anurâdhapura, la visite des vestiges est aussi l’occasion d’une agréable promenade à vélo dans un parc archéologique situé en forêt. On y croise quelques vaches,
tandis que les macaques se chargent d’amuser la galerie.
Cette journée aura été pour moi très fatigante. Traînant une mauvaise crève depuis plusieurs jours, j’avais repoussé cette excursion au dernier moment. J’ai finalement décidé de l’entreprendre malgré ma fatigue. L’aller-retour en bus, dont le confort n’est pas la qualité première, la visite du site en vélo, puis un changement d’hôtel en soirée se paieront cash le lendemain, avec une pointe à près de 39°C de fièvre, heureusement très passagère.
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