Un des aspects les plus importants de la vie loin de chez soi est incontestablement la nourriture. Lors de mes trois mois de séjour linguistique à Cologne, j’avais été confronté à un véritable désert culinaire. Trouver ne serait-ce qu’un sandwich aux vagues saveurs méditerranéennes relevait de l’exploit et ma «Currywurst» hebdomadaire était le comble de l’exotisme.
Situation radicalement inverse à Sydney. L’immigration asiatique y est importante et la ville regorge de petits restos bon marché. Voici une sélection de quelques restaurants situés entre l’université et mon domicile:
Bon, j’avoue que le choix est un peu biaisé. On trouve aussi quelques italiens, danois(?!), indiens, vietnamiens, japonais, etc. Bref, on trouve de tout à Sydney, mais surtout du thaï, ce qui est le plus important.
Outre la diversité, le second avantage est le prix très abordable. Tous les restos thaïs situés près de l’université offrent des formules «lunch» comprises entre 6 et 10 dollars. 6 dollars, cela fait 3 euros ou 4,50 francs suisses au cours du change actuel. Indépendamment des différences de taux de change et de pouvoir d’achat, 6 dollars, c’est le prix de deux cafés et moins qu’un menu «BigMac».
Pour ce prix-là, je mange tous les jours au restaurant. Et pour éviter l’indigestion de pad thaï et de green curry, je ne mange thaï qu’un jour sur deux. Le jour restant, j’alterne entre indien, vietnamien et japonais. Aujourd’hui, pour changer un peu, je suis allé manger un laksa dans un restaurant peranakan (chinois de Malaisie).
Un élément curieux est que la communauté thaïe n’est pas du tout importante à Sydney, si on se réfère aux statistiques de l’immigration. À croire que tous les Thaïlandais de Sydney travaillent dans des restaurants.
En parlant de la Thaïlande, j’ai passé une partie de mon week-end pluvieux à organiser ma semaine de vacances en Asie lors de mon stop-over à Singapour, ne sortant que pour me rendre brièvement au...
Comme je l’avais initialement prévu, je resterai sur la péninsule malaise et visiterai donc… le sud de la Thaïlande. Programme très classique en perspective: parc national de Khao Sok, Ao Phang Nga, Krabi, Ko Phi Phi et Phuket.
J'ai réservé mes billets d'avion un jour avant que les manifestants antigouvernementaux n'occupent l'aéroport de Bangkok. Il ne me reste donc plus désormais qu'à suivre l’évolution de la situation. A priori, je ne suis pas trop inquiet : je ne passe pas par Bangkok et les aéroports ne resteront vraisemblablement pas bloqués durant trois semaines (on n’est pas en France!). Ma crainte concerne plutôt le risque de troubles dans l’hypothèse où l’armée se rangerait aux cotés des manifestants et renverserait le gouvernement. Il n’est en effet pas certain que la majorité de la population soit d’accord avec les manifestants. Pour l’instant, la situation est calme et limitée à Bangkok.
Situation radicalement inverse à Sydney. L’immigration asiatique y est importante et la ville regorge de petits restos bon marché. Voici une sélection de quelques restaurants situés entre l’université et mon domicile:
Bon, j’avoue que le choix est un peu biaisé. On trouve aussi quelques italiens, danois(?!), indiens, vietnamiens, japonais, etc. Bref, on trouve de tout à Sydney, mais surtout du thaï, ce qui est le plus important.
Outre la diversité, le second avantage est le prix très abordable. Tous les restos thaïs situés près de l’université offrent des formules «lunch» comprises entre 6 et 10 dollars. 6 dollars, cela fait 3 euros ou 4,50 francs suisses au cours du change actuel. Indépendamment des différences de taux de change et de pouvoir d’achat, 6 dollars, c’est le prix de deux cafés et moins qu’un menu «BigMac».
Pour ce prix-là, je mange tous les jours au restaurant. Et pour éviter l’indigestion de pad thaï et de green curry, je ne mange thaï qu’un jour sur deux. Le jour restant, j’alterne entre indien, vietnamien et japonais. Aujourd’hui, pour changer un peu, je suis allé manger un laksa dans un restaurant peranakan (chinois de Malaisie).
Un élément curieux est que la communauté thaïe n’est pas du tout importante à Sydney, si on se réfère aux statistiques de l’immigration. À croire que tous les Thaïlandais de Sydney travaillent dans des restaurants.
En parlant de la Thaïlande, j’ai passé une partie de mon week-end pluvieux à organiser ma semaine de vacances en Asie lors de mon stop-over à Singapour, ne sortant que pour me rendre brièvement au...
Comme je l’avais initialement prévu, je resterai sur la péninsule malaise et visiterai donc… le sud de la Thaïlande. Programme très classique en perspective: parc national de Khao Sok, Ao Phang Nga, Krabi, Ko Phi Phi et Phuket.
J'ai réservé mes billets d'avion un jour avant que les manifestants antigouvernementaux n'occupent l'aéroport de Bangkok. Il ne me reste donc plus désormais qu'à suivre l’évolution de la situation. A priori, je ne suis pas trop inquiet : je ne passe pas par Bangkok et les aéroports ne resteront vraisemblablement pas bloqués durant trois semaines (on n’est pas en France!). Ma crainte concerne plutôt le risque de troubles dans l’hypothèse où l’armée se rangerait aux cotés des manifestants et renverserait le gouvernement. Il n’est en effet pas certain que la majorité de la population soit d’accord avec les manifestants. Pour l’instant, la situation est calme et limitée à Bangkok.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire