Évidemment, une des plus belles satisfactions qu’offre un voyage au Japon est la cuisine dans toute sa variété. J’ai essayé, durant ces trois semaines passées au Japon, de couvrir tout l’éventail de la cuisine locale: sushi, sashimi, udon, soba, tenpura, katsudon, rāmen, teppanyaki, sans oublier les innombrables points de vente des bentō et des pâtisseries dans les gares et les grands centres commerciaux.
Bien sûr, rien ne vaut la haute cuisine «Kaiseki», qui est sans doute l’une des meilleures choses que l’on puisse manger au monde. J’ai particulièrement aimé le repas dégusté à Ryoso Kawaguchi, mon ryokan sur Miyajima, qui comprenait notamment des sashimi, du miso blanc aux champignons et au poulet, du bœuf d’Hiroshima… un vrai régal!
Mais un plaisir du Japon est aussi de retrouver la tradition asiatique de la cuisine de rue. Ce n’est pas la Thaïlande, bien sûr, mais j’ai tout de même apprécié les marchés,
la préparation des takoyaki (ici à Kyoto),
et celle des okonomiyaki à Hiroshima.
Bien sûr, rien ne vaut la haute cuisine «Kaiseki», qui est sans doute l’une des meilleures choses que l’on puisse manger au monde. J’ai particulièrement aimé le repas dégusté à Ryoso Kawaguchi, mon ryokan sur Miyajima, qui comprenait notamment des sashimi, du miso blanc aux champignons et au poulet, du bœuf d’Hiroshima… un vrai régal!
Mais un plaisir du Japon est aussi de retrouver la tradition asiatique de la cuisine de rue. Ce n’est pas la Thaïlande, bien sûr, mais j’ai tout de même apprécié les marchés,
la préparation des takoyaki (ici à Kyoto),
et celle des okonomiyaki à Hiroshima.
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